rapideyemove a écrit :
Mon Dieu, mon Dieu, quoi ?!, on part jouer un soir, et une nuit, mettre des phrases de notes et l'inverse, à l'aventure, trouver enfin ce qu'on ne cherchait pas (oui, cher
Zorzi) ; puis au matin, on retrouve tout son petit bourg à l'étau, pris sur la place du marché dans l'angoisse des interrogations du clocher, de ses étrangetés, merles et corbeaux tournant plus haut, avec leurs cris de rouille, pour nouer le vide et l'air.
Ah la–la, c'est bien du souci, je vous dis...
Sans
captatio bénévole, sans antiphrase repentante, j'ai bien ri,
Mr. Bios and Smog, à ton épitomé de géopolitique sur l'équilibre des forces domestiques, entre la machine à café et le salon de musique, la cave et le grenier.
Faisons l'hypothèse que ce qui nous reste de séduction aura su, sait et saura suppléer à nos négociations fragiles, infructueuses.
Préserver, à cet effet, nos minimes empires et leurs quotidiens dépareillés.
Leurs ironies.
Cela ne valait pas tout à fait, quand même, le grandissime topic du chat mort en épopée de l'ombrageux
Rastacouair ou les lacets nonsense du très regretté
micmacfr, qui tint séance et bien plus précieux, parole. Grâce soit rendue à ses dévastations du style, avec rigueur et rhétorique, jusqu'à la drôlerie ravageuse, noire.
Ta divagation ébrieuse à la nuit, l'autre fois, ébauchait en revanche ce geste de dévastation, partage de frivolité et de profondeur.
Quant au
«delay à deux mille boules», quoique très rare, c'était beaucoup moins, même en dollars.
Mais, était–ce trop encore, sous l'arbre de la palabre.
Puis, je suis faible, et ma chair est vaine
.
Allez, juste un petit secret, sa farce et Polichinelle, je parle pour ne rien dire, tout au bout du bourg et son jeu, entendez aussi, peut-être, pour ne rien avouer.
Je m'écoute écrire...
Je m'écoute...
...et vous sais gré ainsi de ruiner mon péril, tout entier sur deux pages, l'œil vague, sans mutinerie.
Être lu, ici, au plus vrai, je ne m'y attends plus.
Bas de page et footnotes.
À l'ombre d'Alexis, légère, légère
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