C'est pas Martine qui est arrivée en bas avant.
Un tel fait serait tout simplement inenvisageable : ce n'est pas possible.
Il ne pourrait être autrement que ce soit Paul qui soit arrivé le premier.
Dévellopons.
Voici un résonnement par l'absurde :
Supposons que Martine s'écrase la gueule la première en bas.
Alors Paul se serait écrasé la gueule après elle.
Or Martine est une femme.
Pourtant, le début de la blague se manifestait ainsi :
Citation:
Paul et Martine grimpent au sommet de la Tour Eiffel et sautent. Qui arrive le premier en bas ?
La chute de la blague (ohoh uhuh ihih, si je puis me permettre ohoh), était clairement exprimée de cette façon :
Et sur ce point on reconnait l'auteur habile de ses mots, qui, pour tromper le public, a mis la réponse sous une
phrase nominale sans verbe.
Car en effet, tout le monde se serait rendu compte de l'absurdité de cette chute (ohoh ahah uhuh), si il avait marqué, en toute logique et avec le respect des phrase incipitaires de la blague :
C'est Martine
qui est arrivé le premier en bas.
En effet, on nous demandait qui arriveât le premier. Il ne saurait donc s'agir d'une première, c'est-à-dire d'un premier de sexe féminin.
Or Martine est un prénom féminin qui ne saurait être porté par un homme, auquel cas celui-ci se serait nommé Martin.
J'exige donc, avec vous tous, des excuses pour cet exemple de blague diffamatoire et volontairement erroné, de la part de Petit Lutin.
Et je me déclare Roi de Moldavie car je suis le seul à avoir trouvé la véritable réponse et a avoir apporté vérité, liberté et clarté dans vos coeur.
Car oui, messieurs, oui, mesdames, c'est bien PAUL qui est arrivé LE PREMIER EN BAS !
Pour les autographes et la presse c'est demain 17h à la loge merci.