Dans mon quartier, sex-shops, lieux de cultes, boutique de souvenirs, bureaux de change, supermarchés sont ouverts depuis longtemps et c’est tant mieux. Paris est embouteillé comme jamais, les métros et les RER sont blindés, les grands magasins (tellement nécessaires dans nos vies...) aussi, mais toujours pas de musique live, ni de spectacle à l’horizon. On ne peut plus rêver à Paris, on ne peut plus s’amuser, on ne peut plus s’évader. Quel constat rageant et quelle tristesse. Depuis presque un an, le spectacle vivant est toujours à l’arrêt. Qu’il est pénible, voir insultant d’être autant ignoré par nos dirigeants. Roselyne Bachelot, cachez-vous à tout jamais au lieu de frimer depuis votre balcon du Palais Royal car désolé non depuis le début de votre mandat, vous n’êtes pas la ministre des artistes, vous êtes la ministre de rien. Faudrait-il troquer nos guitares contre des fourches, des massues et que l’on vienne demander des comptes à l’Elysée ? En ce qui concerne le grand méchant coronavirus, de mon expérience personnel et d’autres autour de moi, il s’est soldé par quelques montées de fièvre pendant 2 jours, rien de plus. Certains diront que nous sommes chanceux. Mais pas tant que cela si l’on considère, sans passer pour un complotiste, que le taux de mortalité pour ceux qui le contractent est inférieur à 0,5%. Donc au lieu de nous torturer psychologiquement, de nous faire culpabiliser, de nous faire vivre dans l’angoisse et la peur constante de la mort ( puis, dois-je rappeller que tomber malade ne signifie pas forcement mourir; même s’il faudra un jour dernier de notre existence tirer sa révérence et bien mourir de quelque chose) au lieu de nous laisser donc comme des rats enfermés entre quatre murs depuis bientôt un an, fliqués, controlés, infantilisés, humiliés, punis, le gouvernement ferait mieux de se préoccuper de notre santé mentale, de se préoccuper du bonheur des français, aider tous les malchanceux qui n’ont rien et dorment en ce moment dehors dans les rues froides et humides de Paris. Qu’ils commencent aussi à lutter contre la mal bouffe, à interdire tous ces Fast Foods infectes dans lesquels la population se ruent à chaque déconfinement comme des drogués. Interdire tous ces produits industriels plein de poisons, d’exhausteurs de goût, de chimie, tous ces ennemis qui gavent les rayons et les têtes de gondoles de supermarchés. Toutes ces merdes qui nous ont déjà tellement affaiblit et apporté cholestérol, diabète, tension, surpoids et cancers qu’elles nous ont fragilisées contre des menaces virales comme la covid justement. Aux gouvernements de travailler sur les vraies priorités de ce monde plutôt que d’emmerder ceux qui veulent prendre le grand air à la montagne, skier en Espagne, en Suisse ou aller surfer. Qu’ils luttent réellement et sans relâche contre la pollution des sols et de l’air, qu’ils nous aident réellement à sauver cette terre, notre mère supérieure à tous, celle qui nous a engendré, celle qui nous nourrit, celle qui nous protège, celle qui nous accueille pendant notre existence et après notre existence. Celle qui nous fournit l’air et l’eau pour nous donner à tous force de vie justement. Et plutôt que de verbaliser pour un défaut d’attestation ou un non port du masque dans la rue, qu’ils encouragent les enfants dès l’ecole à écouter leur corps, à se préoccuper de leur esprit plus sainement qu’on n’est inciter à le faire et qu’ils laissent les adultes diriger leur destin comme ils ll’entendent, qu’ils nous laissent poursuivre nos rêves. Car notre existence nous appartient. Notre corps, cette machine incroyable a traversé des millénaires et a vaincu des conditions bien plus extrêmes que ce virus. Alors s’il s’est essoufflé au bout de cette course folle, c’est peut-être un peu à cause de ce qu’il a ingurgité, respiré et enduré dans cette époque qui a totalement fait naufrage. Bien évidement que protéger les plus faibles reste une évidence mais le faire au détriment de ceux qui veulent continuer à vivre est un suicide collectif ! Car sans tomber dans la psychose, des gestes aussi simples que se laver régulièrement les mains, mettre un masque lorsque l’on s’approche de nos anciens, s’isoler lorsque l’on est malade ne sont pas si compliqués à adopter pour protéger ceux qu’on aime. Puis ne jamais oublier que notre état psychique tient un rôle primordial dans notre système immunitaire. Ce n’est pas uniquement la chance et le destin qui décident pour notre état de santé. Nous tuer psychologiquement à chaque annonce négative, c’est affaiblir un peuple. Si nous sommes devenus peureux et faibles d’ailleurs c’est bien à cause de tout ce manque d’amour, de considération, de bienveillance à notre égard. Les industriels de mèche avec les gouvernements motivés par le pognon et par toujours plus de pognon ont totalement négligé l’humain ces dernières décennies. Ne voyez donc vous pas comment ils nous tiennent en laisse avec leur vaccin déniché derrière les fagots ? C’est cela l’unique solution ? si cette solution en est une... Où et quand aura lieu le débat publique sur un sujet aussi important ? Faut-il acquiescer bêtement comme on l’a fait pour le lait de vache pendant des décennies sans demander d’explications, de preuves, de vraies études sérieuses et transparentes ? « Les produits laitiers sont nos amis pour la vie » vous souvenez-vous de ce traquenard, de cette belle escroquerie ? Ils nous ont fait la même avec le tabac, les produits sucrés et tellement d’autres choses qu’on vous offre contre un plein d’essence. Histoire de bien vous rendre addicted. Soyez certains qu’ils nous ont volé déjà sournoisement bien plus de notre capital de vie que le coronavirus nous en volera. Alors mes amis, arrêtons de flipper de ce virus ! C’est notre esprit qui fait l’histoire. Arrêtons d’écouter ces guignols qui ne sont que nos prestataires finalement. Car c’est bien avec notre argent et notre travail que ces types ont un poste dans la haute administration. Ne jamais oublier que le pouvoir est en nous et que le pouvoir c’est nous. Arrêtons de nous coucher comme des carpes devant les décisions gouvernementales et ces systèmes imposés. Puis relevons la tête et vivons. Oui vivons, rêvons, respirons sans ces saletés de masques lorsque nous sommes à l’extérieur et raisonnablement pas entassés ! Et demandons des comptes à ces ministres et à ces hauts responsables de la santé qui nous mentent sur tellement de points depuis le début de cette crise. Reprenons le contrôle du navire piloté par des énarques qui ne savent rien de la vie, qui ne savent rien de l’amour, qui ne savent rien de la poésie, qui ne savent rien de la musique et de l’art, pire encore qui ne savent rien de l’humain, qui nous méprisent totalement. Je vous pense, Manu (et le diable)