Le clavier AZERTY t'aurait–il joué un tour à sa façon dans ce beau titre, presque autrichien ?
Tenez, retiré du concert de 1974 que tu citais David, leur
Sugaree, par exemple, un titre qui me reste toujours au fond du cœur, à l’oreille et sur les lèvres...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.