Même si c'est une scie, et c'en est une belle, Raoul Coutard, Le Mépris de Godard et son générique par exemple : JL & G, en paroles, avec ce long travelling du chef op', filmé par une autre caméra, jusqu'à cet objectif qui finit par plonger dans l'œil du spectateur, au plus bas, avec la citation d'André Bazin...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.