Le topic des horreurs inécoutables...

Ce matin, je suis tombé par hasard sur cette vidéo :



Certes, il y a là une démarche artistique. Je ne sais pas si ça colle au sujet du topic.

Pauvre cliclac, son algorithme youtube souillé à jamais...

Irène Papas dit « I was, I am, I am to come, I was » (« je vais jouir ») très expressifs.
Les paroles sont de Kostas Ferris et la musique de Vangelis. (mort dernièrement)

Elles sont l'inversion de celles de la représentation du Bien dans l'Apocalypse de Jean (« Who was, is, is to come» "celui qui a été, est, et sera a venir") reprises en remplaçant la troisième personne par la première personne.

La conception de l'album 666 (le chiffre de la bête) reposait sur le concept d'une inspiration - relecture psychédélique du livre des Révélations (Apocalypse de Jean).

On peut dire que c'est une ode satanique.

Voilà pour la démarche artistique... c'est pas les mêmes références que celles de Wedjéne ou JUL c'est clair.

The very end of the album typifies the advanced studio trickery applied throughout Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band. After the last droplets of the crashing piano chord of ‘A Day In The Life‘ have evaporated, come a few seconds of 15 kilocycle tone, put there – especially to annoy your dog – at the request of John Lennon. Then, as the coup the grace, there is a few seconds of nonsense Beatle chatter, taped, cut into several pieces and stuck back together at random so that, as George Martin says, purchasers of the vinyl album who did not have an auto return on their record player would say “What the hell’s that?” and find curious noise going on and on ad infinitium in the concentric run-out groove. – from the ‘Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band‘ CD sleeve notes.

The track was not titled on the original release of Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band, but received a title on the US compilation Rarities, on which it was included.