L'antispécisme est un humanisme

Je me demande s'ils ont de la sauce soja ?

Tout est meilleur avec un peu de tamari.




Blague à part, le véganisme est/se veut/devrait être le niveau suivant d'évolution de l'humanité : il ne concerne en rien les quelques peuplades primitives qui existent encore.

Tu confonds avec le FreoBriddisme

C'est encore quelques échelons au-dessus, le FreoBriddisme, nan ?

Le riz c'est bien et c'est beaucoup mieux quand il est complet.

Je n'avais pas eu le temps de développer mais je suis devenu végétarien après avoir passé deux semaines chez des gens végétariens assez "roots" (par exemple il faisait leur farine eu-même avec un moulin à main). Donc la qualité de digestion que je citais n'est pas en rapport à un ou deux repas mais sur plusieurs jours et c'est plutôt une sensation de bien-être général qui m'a fait définitivement basculer, plus qu'une expérience de digestion. D'ailleurs, je n'ai pris la décision qu'après.

Le FreoBriddisme étant un omnisme, il préfère accueillir les autres points de vue sans se sentir supérieur. Bref, non, même si ta remarque est adorable (merci), ce n'est pas un cran au-dessus.

En tant qu'hygiène de vie, j'adhère

En tant que noyage de poisson papilliste, j'adhère moins

Tu adhères sans vraiment adhérer : tu es un Post-It©

Je choisis mes supports

Spéciste, antispéciste ou juste dégoûtant ?
https://www.hindustantimes.com(...).html

L'excellent livre de Jocelyne Porcher contre le véganisme, "Vivre avec les animaux", vient d'être publié en Espagne. Tant mieux si ça en fait rager certains.

Sur les liens de la "cause animale" avec le grand Capital:

Porcher a pu se faire une petite notoriété car ses élucubrations (financées par nos impôts) répondent au besoin que ressentent un certain nombre de carnistes/éleveurs/bouchers etc. de justifier leur abjection morale par des considérations sociologico-politiques ronflantes.

Mais ces considérations sont complètement vides de sens :

1. « Vivre avec » (c'est-à-dire exploiter sans le moindre scrupule) les animaux parce qu’on a besoin d’eux... pour les bouffer

2. Chimérique relation « don/contre-don » qui n'est qu'un rapport d'exploitation à sens strictement unique : illusoire « relation » qui a pour pendant la torture et le massacre, mais dont on veut imaginer que les victimes en sont volontairement, que dis-je, gaiement partie prenante

3. Rejet de l'exploitation des animaux conçu comme produit d’un complot du grand capital, comme si ce dernier ne tirait pas des fortunes astronomiques du système d’exploitation actuel

Etc., etc., etc. Elle est d'une malhonnêteté à toute épreuve... et elle a trouvé son public d'hypocrites gastrolâtres - pas vrai, mon Julot mignon ?

mort de rire.

Réjouis-toi, Julot, tes amis du grand capital peuvent continuer à violer à volonté :



Loi anti-maltraitance : de réels progrès, mais pas pour tous les animaux

Eh, blague à part ?

Il paraît que les vegan sont en majorité des hommes faiblement cultivés, contrairement aux végétariens ... - il paraît ...

De toute façon je ne vois pas l'intérêt de se priver des "cadeaux" de la nature que sont le lait ou les oeufs.

Bon, après je peux comprendre que certains ne digèrent pas, quelle qu'en soit la raison, mais si une vache meurt, refuser par exemple d'utiliser sa peau ...
(c'est gâcher)

Ah, si une vache meurt...

(Et la peau de ta grand-mère, tu vas l'exploiter pour refaire les sièges de ta Deuche ? )



Tu es allé chercher ça où ? Il y a en fait très peu d'hommes chez les vegans