wywh a écrit :
Quand nos tentatives bienveillantes pour améliorer les relations avec un abruti ont échoué, il s’agit tout simplement d’imaginer qu’on place ledit abruti dans un bocal. Car le con, une fois coincé dans un bocal hermétiquement fermé, a beaucoup plus de mal à nuire : Il n’a plus de son, plus d’odeur. De plus, pour peu qu’on ait choisi un bocal en verre, les parois arrondies lui déforment la figure, nous donnant une sorte de caricature de notre abruti qui diminue grandement l’emprise que ses comportements ont sur nous. Regardons-le, enfermé dans son bocal: ni ses mots, ni son agressivité, ni ses petites et grandes manipulations, ou encore ses comportements de persécuteur, ses attitudes et manies qui nous insupportent ne parviennent à franchir la barrière de verre qui le sépare de nous. Le con est devenu inoffensif, impuissant.
Tentative de poésie, non dénuée d'une grande vulgarité, ni de prétention hautaine ...
Nous somme tous l'abruti et le con d'un autre ...
Et comme disait Audiard, un con ça ose tout, preuve en est
Une fois de plus tu joues les victimes, quant à ta tentative pour améliorer les relations on peut dire que tu sais vraiment bien t'y prendre, tu te complets de plus dans l'insulte.